C’est Nicolas Da Silva, responsable de l’auto-école de Formule 1 de Dole, qui nous a alerté sur le fil conducteur de la Progrès. Le professionnel est difficile à rencontrer. « Aujourd’hui, je roule de 7 heures à 21 heures et demain, pareil », explique-t-il. Et c’est à 6h30 du matin que nous l’avons retrouvé dans son établissement. « J’ai une vingtaine de places chaque mois pour les examens, mais je devrais en avoir une trentaine. C’est cinq unités par nombre d’employés et nous sommes six. Les gens ne comprennent pas, c’est coincé. En cas d’échec, il faut attendre deux à trois mois avant de pouvoir repasser l’examen. L’été arrive et on va se retrouver coincés comme chaque année », explique-t-il.
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