Le texte propose que l’Etat, qui est au capital de 85 entreprises – un portefeuille estimé à 179,5 milliards d’euros au 30 juin 2024, dont 53,7 milliards de sociétés cotées, selon les documents budgétaires – vende pour 8 milliards d’euros d’actions. Un montant qui n’a pas été choisi de manière anodine. Cela correspond à peu près à ce que le gouvernement espère récupérer grâce à la surtaxe de l’impôt sur les sociétés de la première année, qui, si elle est adoptée, devrait toucher les entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse le milliard d’euros. euros.