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Bruno Retailleau assure que la situation « reviendra à la normale » d’ici « décembre » au plus tard.

« En 2024, il y a eu des événements exceptionnels. Ces éléments ont consommé beaucoup de budget. Il n’y a aucune mauvaise volonté d’un côté ou de l’autre», a assuré mardi le ministre de l’Intérieur.

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Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, le 8 octobre 2024 à l'Assemblée nationale. (THOMAS SAMSON / AFP)

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a assuré mardi 8 octobre, lors d’un point presse à l’Assemblée nationale, que le « problème » Les loyers impayés de la gendarmerie nationale à de nombreuses collectivités locales seront réglés « le plus rapidement possible ». « Je trouve un problème et j’essaie de le résoudre, et le plus rapidement possible », dit-il, s’assurant que « tout redeviendra normal » au plus tard « mois de décembre ».

« La gendarmerie s’est retrouvée à court de liquidités pour deux raisons principales : les mesures de sécurité qui coûtent très cher pour les Jeux Olympiques et pour le rétablissement de l’ordre républicain en Nouvelle-Calédonie »a d’abord expliqué Bruno Retailleau. « En 2024, il y a eu des événements exceptionnels. Ces éléments ont consommé beaucoup de budget. Il n’y a aucune mauvaise volonté de part et d’autre. »

« Je tiens à rassurer tout le monde : les engagements de l’État seront tenus. La parole de l’État sera honorée. a déclaré le ministre, détaillant la différence de traitement entre les petites communautés et les plus grandes : « Il y aura des petits propriétaires qui auront des problèmes de trésorerie, et dans ce cas, j’ai demandé que les paiements soient effectués très, très rapidement. » « Pour les plus gros bailleurs, qui ont déjà de la trésorerie, à ce moment-là, nous attendrons décembre avec la fin de la loi sur la gestion qui nous permettra de renflouer les comptes et de payer les loyers en retard. »

« De plus en plus, la gendarmerie nationale demande aux collectivités, communautés de communes, agglomérations, de financer les casernes, et puis il y a les loyers »termine Bruno Retailleau.

Cammile Bussière

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