Brigitte Macron : en pleine opération « Pièces jaunes », empoisonnement

Le 8 janvier, Brigitte Macron a officiellement lancé le 36ème édition de l’opération « Pièces Jaunes »une initiative caritative emblématique soutenue par la Première Dame.

Ce programme, qui vise à récolter des fonds pour les enfants et adolescents hospitalisés, se déroule chaque année pendant plusieurs semaines, en janvier et février.

Brigitte Macron : une Première dame engagée

L’épouse du Président de la République, très impliquée dans cette cause, multiplie donc les apparitions médiatiques pour sensibiliser l’opinion publique à l’importance de cette opération, rappelant que chaque don, aussi modeste soit-il, peut avoir un impact majeur sur la vie d’un enfant malade.

De la Douze coups de midi sur le plateau de Actualités TF1 en passant par RTL, Brigitte Macron prend son rôle très à cœur. Le 10 janvier dernier, elle était l’invitée d’Amandine Bégot sur les ondes. Un entretien au cours duquel elle a abordé pléthore de sujets, à commencer par son mari, Emmanuel Macron.

« J’aimerais qu’il arrête un peu de travailler, parce qu’il travaille tout le temps« , a-t-elle confié, avant de revenir sur la récente dissolution de l’Assemblée nationale : «Il a consulté, c’est une décision qu’il a mûrement réfléchie. (…) Et je n’interviens jamais. (…) Un président par essence est seul. Même s’il est entouré de nombreuses personnes, c’est à lui de prendre les décisions.« 

Un discours puissant

Lors de l’entretien, Brigitte Macron a également évoqué les nombreuses attaques dont le chef de l’Etat a été victime depuis son élection. « Je me sens extrêmement blessé. Vous imaginez ce taux de violence que vous prenez. Les rares fois où je vais sur les réseaux, je n’imaginais même pas qu’on puisse dire de telles phrases à des gens dont on ne sait rien, qu’on ne connaît pas ou qu’on croit connaître. Comment peut-on assassiner verbalement des gens comme ça ?« , a-t-elle déploré. Des propos rapportés par nos confrères de France dimanche.

Et pour elle, la récente suppression du fact-checking sur les réseaux sociaux risque d’aggraver la situation. Selon Brigitte Macron, cela ressemble à un « empoisonnement ».

« Je lui ai dit (à Mark Zuckerberg, ndlr) comme j’ai dit à Elon Musk : ‘A partir du moment où vous avez donné un poison, donnez l’antidote aux mineurs, c’est votre honneur‘. Ils sont très polis, ils me disent qu’ils cherchent des solutions mais en réalité, il ne se passe rien !« . Un sacré coup de gueule de la part de la Première Dame.