Le tribunal a suivi à la lettre les réquisitions des poursuites anti-terroristes, qui avaient réclamé cette peine extrêmement rare.
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/2025/02/09/000-8u789d-67a8cfcdd4dc3277207002.jpg)
C’est la phrase la plus lourde du code pénal. Brahim Aouissaoui, qui a admis avoir assassiné trois personnes dans la basilique à Nice le 29 octobre 2020, a été condamnée à la réclusion à perpétuité avec une période de sécurité incompressible le mercredi 26 février. « droite » pour venger les musulmans tués dans le monde par « L’ouest ».
La perpétuité incompressible est une sanction extrêmement rare, ce qui rend la possibilité d’un développement de phrases très minuscule. En termes de terrorisme, cette sanction également appelée «réelle perpétuité» avait été prononcée contre Salah Abdeslam pour les attaques du 13 novembre 2015, qui a fait 130 morts à Paris et Saint-Denis. Dans un acte d’accusation à deux votes devant le tribunal spécial de Paris, les avocats généraux pour la poursuite nationale anti-terroriste (PNAT) avaient décrit un Brahim Aouissaoui « Verrouillé dans son fanatisme totalitaire et barbare ».
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