Voilà plusieurs mois que Blake Lively est dans la
tourmente. L’actrice fait polémique depuis la promotion de
son dernier film, Jamais plus, qui traite des violences
conjugales. Malgré le sujet sérieux, Blake Lively a, à plusieurs
reprises, évoqué le film d’un ton léger, comme une comédie
romantique à aller voir entre copines. De plus, l’actrice a osé
faire la promotion de ses soins capillaires et de sa marque
d’alcool Betty Booze, alors qu’elle promouvait le film.
Blake Lively : sa réputation au plus mal depuis plusieurs
mois
Une opération de communication particulièrement déplacée pour de
nombreux internautes. Dans la foulée, une ancienne
interview de
Blake Lively datant de 2016 a été déterrée, et cette dernière
n’affiche pas l’actrice sous son meilleur jour, celle-ci se
montrant particulièrement désagréable avec la journaliste. Une
série de comportements problématiques – avec en coup de grâce, son
mariage avec
Ryan Reynolds dans une ancienne plantation – qui a fortement
esquinté la réputation de Blake Lively.
Pour cette dernière, cette descente aux enfers n’est pas dûe au
hasard, mais bien à son différend avec Justin Baldoni, qui partage
l’affiche du film Jamais plus. Selon Blake Lively,
l’acteur aurait mis en place une campagne de diffamation contre
elle, alors que les deux partis auraient rencontré des
problèmes sur le tournage. Le 21 décembre, Blake Lively a
d’ailleurs porté plainte contre Justin Baldoni pour harcèlement
sexuel et comportements déplacés. Une saisine exposée dans un
article du New York Times.
Blake Lively : des dépôts de plaintes
et des ventes en chute libre
A son tour, Justin Baldoni a porté plainte contre le New York
Times pour diffamation, atteinte à la vie privée, divulgation de
fausses informations et non-respect implicite de contrat. Ses
avocats réclament 250 millions de dollars en dédommagement. Pendant
que la bataille médiatique continue, les finances en prennent un
coup. Dans sa plainte, Blake Lively affirme que les ventes
de sa marque de produits capillaires ont chuté jusqu’à
78%, tout comme sa marque d’alcool. “Les préjudices financiers
continuent encore aujourd’hui”, rapporte le dossier.