L’aventure s’est arrêtée aux portes de la demi-finale pour Noir M. Vendredi 12 avril, le rappeur et ancien membre de la Sexion d’Assaut a été éliminé de la 13e édition de Danse avec les stars (TF1). En équipe avec Elsa Bois depuis le début du concours, l’artiste n’a pas caché sa déception une fois sortie du programme. Dans une interview accordée à Parisien, Black M n’a pas hésité à se montrer pour le moins sceptique quant au système mis en place au sein de DALS. « N’y a-t-il pas quelque chose de mal à arrêter les votes ? Je me demande. Je leur ai demandé droit dans les yeux : « Les gars, c’est un peu faux ? Dis la vérité »… Et ils m’ont répondu « Non, pas du tout ». Je ne les crois pas mais je ne veux pas en faire une affaire d’État« , a-t-il confié.
Black M proche d’Inès Reg
Cette élimination a été d’autant plus difficile à digérer que le rappeur croyait vraiment en ses chances. « J’aurais aimé avoir la même lumière qu’avaient Tayc, Billy Crawford ou Matt Pokora. En coulisses avec mon équipe, on a vraiment cru que j’allais être sauvé parce qu’on avait les voix de tout le monde (…) On était convaincu d’être sauvé par le public« , a-t-il ajouté. Black M a également évoqué la violente altercation survenue il y a plusieurs semaines entre Inès Reg et Natasha St-Pier. Cet affrontement a pris une place considérable dans le programme, et a eu un fort impact sur l’ambiance en coulisses. Sur ma route a évoqué sa relation avec Inès Reg, dont il est proche, mais aussi sa volonté de ne pas se positionner dans un seul camp. « Tout le monde le savait. Inès Reg est une amie. Je l’ai appelée après l’altercation, elle était très bouleversée, en larmes. Je n’ai pas pris parti parce que ce n’est pas ma place. Elle a été tentée d’arrêter et je lui ai conseillé de continuer. Vu son niveau, elle est trop forte, elle peut gagner« , commence-t-il dans les colonnes de Parisien.
La situation ne s’est jamais calmée en coulisses
Black M a également révélé que les tentatives de la production pour contrôler la situation n’ont pas donné les résultats escomptés. « Ils ont décidé de réunir toute l’équipe. Chacun s’expliquait, le ton montait parfois puis redescendait. J’ai pris la parole et j’ai dit : « Vous n’êtes pas de mauvaises femmes, c’est une incompréhension mutuelle. Parlez-vous et répétons. Pour moi, c’était réglé mais en fait, ce n’était pas réglé« , il ajouta.