Bientôt écarté des commandes de la SNCF, Jean-Pierre Farandou défend son bilan
À peine quelques heures après la communication officielle du gouvernement l’informant que son mandat de PDG de la SNCF n’irait pas plus loin que le terminus des Jeux olympiques et paralympiques, soit le 8 septembre, Jean-Pierre Farandou est entré dans une tribune parfaite pour défendre son bilan : son audition au Sénat mardi. Et en filigrane, dire sa façon de penser sa tutelle.
Censé au départ surtout justifier le récent accord social sur les fins de carrière, qui a fait tousser certains notamment au Sénat, au nom de l’équité des Français face à la réforme des retraites, la première du ferroviaire Les ouvriers ont spontanément et fortement élargi le débat. Signifiant d’avance qu’il quitterait le siège de Saint-Denis la tête haute, le moment venu.