Kevin Mazur / WireImage pour Parkwood
Beyoncé a adopté une ligne dure pour empêcher Donald Trump d’utiliser sa chanson « Freedom » dans sa campagne.
PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE – Quand Beyoncé dit non, cela veut dire non. La chanteuse de 42 ans n’a pas hésité à s’exprimer après sa chanson Liberté a été utilisé dans une vidéo de campagne de Donald Trump. Extrait de l’album Limonade sortie en 2016, la chanson n’a jamais été autorisée pour une telle utilisation. Et l’interprète de Fou amoureux a informé l’équipe de l’ancien président américain.
Une source proche du chanteur 32 fois lauréat d’un Grammy Award a déclaré aux médias spécialisés Pierre roulante L’équipe de campagne de Donald Trump n’a jamais demandé l’autorisation d’utiliser la chanson. En réponse, l’équipe de l’artiste originaire de Houston a menacé l’équipe du candidat républicain d’une mise en demeure.
Dans le clip publié sur le compte X du porte-parole de la campagne Trump, Steven Cheung, la chanson Liberté Des images du candidat républicain sortant d’un avion ont été diffusées. La vidéo a depuis été supprimée.
Libertél’hymne officieux de la campagne de Kamala Harris
Ironiquement, Liberté est devenu, au fil des semaines, l’hymne officieux de la campagne présidentielle de Kamala Harris, adversaire de Donald Trump dans la course à la présidentielle. Après que Joe Biden a choisi de ne pas se représenter, Kamala Harris a fait de cette chanson un élément central de ses apparitions publiques.
Beyoncé avait accepté, dès le premier jour de campagne de Kamala Harris, l’utilisation de son single par la vice-présidente, et ce pendant toute la durée de la course à la Maison Blanche, comme vous pouvez le voir dans le clip de campagne de Kamala Harris ci-dessous :
De son côté, Donald Trump n’en est pas à sa première utilisation non autorisée de musique lors de ses meetings et de ses vidéos de campagne. Ces dernières semaines, l’homme d’affaires de 78 ans a déjà utilisé les chansons Mon coeur continuera par Céline Dion et Cours, garçon, cours du chanteur français Woodkid, provoquant la confusion chez les deux artistes qui ont alors dénoncé l’utilisation de celle-ci sans leur consentement.
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