« Beaucoup de Français refusent ce que présentent les extrêmes », assure le Premier ministre Gabriel Attal.

Depuis six jours, les Français observent la vie politique et nombreux sont ceux qui s’inquiètent depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron. Pour le Premier ministre Gabriel Attal, « Le président a pris cette décision et l’a expliquée à un Parlement de plus en plus asphyxié par le poids des extrêmes. »

Alors que certains élus Républicains s’allient au Rassemblement national et que les partis de gauche s’unissent sous la bannière du Nouveau Front populaire, Gabriel Attal affirme avoir « J’ai rencontré des Français qui refusent la division, (…) qui ne veulent pas d’un projet de ruine économique comme le proposent les extrêmes. » Refusant de répondre s’il voterait entre le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire, Gabriel Attal affirme vouloir « défendre les valeurs de la République » et « Beaucoup de Français refusent ce que présentent les extrêmes. (…) Si le projet extrême triomphait, environ un million d’emplois seraient détruits.»