Le Premier ministre François Bayrou devrait échapper à une sixième motion de censure mercredi, cette fois déposée par le Parti socialiste, qui critique le gouvernement de « Consultez des passions tristes de l’extrême droite ».
Le texte, qui sera examiné à la fin de l’après-midi, n’a aucune chance de réussir, n’ayant pas le soutien du rassemblement national.
Ce qui n’a pas empêché le ministre des relations avec le Parlement, Patrick Mignola, d’appeler les Parlementaires mardi soir au Parisien » responsabilité « en espérant qu’un « Un certain nombre de députés socialistes ne le voteront pas »à un moment où « Deux superpuissances » – La Russie et les États-Unis « Négocier au mépris de l’Europe » sur l’avenir de l’Ukraine.
Le PS avait annoncé cette motion après avoir abandonné le gouvernement sur les budgets, le présentant comme une réponse à la « Trumpisation » débat public et protestation face à l’expression de « Submersion » Migration, employée par le Premier ministre.
« Le Premier ministre a pris les paroles mortelles de Jean-Marie le Pen »Critiquez les socialistes dans ce texte signé par les 66 députés du groupe.
Qualifier l’extrême droite « Ennemi mortel de la République »Ils critiquent le gouvernement pour avoir « Cédé » à lui « Passions tristes » dans « Offrir de nouvelles victoires culturelles au rallye national qu’elle est censée combattre ».
Dans leur viseur en particulier: le débat sur la loi du sol suggéré par le gardien des sceaux Gérald Darmanin, le soutien du gouvernement à un texte LR restreignant ce droit à Mayotte, l’adoption à l’Assemblée, à l’initiative de l’initiative de l’initiative de l’initiative de l’initiative de l’initiative de l’initiative L’ancien ministre du prime Gabriel Attal, d’un texte sur la justice des mineurs, « Décriminalisation des dommages à la biodiversité » transporté par le droit sénatorial, ou « L’interrogatoire du pacte vert » au niveau européen.
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Le Premier ministre français François Bayrou (décédé) s’exprime lors d’une session de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, à Paris, le 18 février 2025 / Julien de Rosa / AFP
Le texte, déposé lundi, évoque également le cas de la violence dans Notre-Dame-de-Bétharram, croyant que « Le Premier ministre ne peut échapper aux questions légitimes des victimes et de leurs proches, de la représentation nationale et de la presse ».
Le Premier ministre est accusé dans ce dossier de l’intervention dans l’enquête ouverte à la fin de 1997 concernant le père Carricart, ancien directeur de l’institution, et d’avoir menti à la représentation nationale, qu’il rejette complètement.
Le cas a de nouveau animé des questions au gouvernement mardi, François Bayrou a contre-attaqué en accusant le gouvernement de Lionel Jospin, au pouvoir de juin 1997.
Le Premier ministre a survécu à cinq censure de la gauche, une déclaration consécutive de politique générale et quatre sur les budgets. Et le Parlement a tourné la page budgétaire lundi en adoptant le budget de sécurité.
Un succès pour le gouvernement de M. Bayrou, qui a fixé sa feuille de route au Parlement mardi jusqu’au mois de juin.