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Le PS affirme que le Premier ministre « doit la vérité » aux victimes, tandis que ce dernier garantit qu’il n’a « jamais été informé » de la violence, de l’agression sexuelle et du viol qui auraient été commis dans l’établissement.
François Bayrou a déclaré mercredi qu’il avait « contesté » les accusations de mensonges sur les agressions sexuelles soupçonnées de membres d’un établissement catholique à Béarn auquel ses enfants ont assisté, les appelant « Controverse artificielle». « JE rejette les controverses artificielles sur ce sujet« Dit le Premier ministre devant l’Assemblée nationale en réponse au député environnemental Arnaud Bonnet, qui lui a demandé de démissionner. » « Je n’ai jamais été, à ce moment-là, averti dans quoi que ce soit, (…) des faits qui ont donné naissance à des plaintes ou à des rapports« , Réduisez le chef du gouvernement, qui avait déjà assuré mardi qu’il l’avait fait »jamais été informéDans le passé de ces attaques.
Les députés socialistes ont affirmé que « Toute la lumière est faite » Sur la violence, les agressions sexuelles et les viols à partir desquels les membres du collège-lycée Notre-Dame-de-Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques sont. Le PS dit que François Bayrou « Doit la vérité » aux victimes et à la représentation nationale. «Articles publiés depuis apporter des éléments qui contredisent la version du Premier ministre. S’ils étaient prouvés, cela constituerait un mensonge et donc une faute grave « juge le PS qui demande à M. Bayrou « Pour confirmer ou nier clairement ses remarques pour aider à faire la lumière sur cette affaire dramatique ».
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« Une légèreté inacceptable »
La poursuite de la PAU a mené l’enquête depuis un an dans une centaine de plaintes pour des faits présumés de violence, d’agression sexuelle et de viol commis au collège-notré-dame-de-betharram, dans les Pyrénées-atlantiques, entre les années 1970 et 1990 . La semaine dernière, des témoins interrogés par l’AFP, après une enquête de MediArt, ont déclaré que le Premier ministre était conscient, à la fin des années 1990, des accusations d’agression sexuelle.
M. Bayrou était ministre de l’Éducation nationale entre 1993 et 1997. Les députés socialistes considèrent, en outre, que le Premier ministre « En ne prononçant jamais le mot » victimes « pour les personnes concernées, a montré une légèreté inacceptable ». Ils appellent M. Bayrou à « Prendre conscience de la gravité de ces faits » qui a eu lieu pendant près de 60 ans.
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