Déjà près de faire tomber votre dossier. L’année dernière, l’équipe française du biathlon est revenue des mondes mondiaux Mesto (République tchèque) Les valises chargées, avec 13 médailles. Le supplément de bagages, pour son retour de Lenzerheide (Suisse), sera précisément le même après la fin de ces mondes de 2025, dimanche 23 février, par les deux départs de masse. En neuf jours de compétition, les Blues ont augmenté 13 fois sur le podium, faisant presque le Grand Colem (médaillés sur 11 des 12 courses), et ont fait résonner La Marseillaise Six fois.
En égalant leur record avec six médailles d’or, deux argent et cinq bronze (mieux que 2024 avec un argent de plus pour un bronze de plus), les Français ont particulièrement assis leur domination sur le reste du circuit. Parce que derrière, les Norvégiens de Johannes Boe, avec neuf médailles (dont quatre en or), se sont terminés loin des Blues. Un an avant les matchs de Milan-Cortina, les HAB avancent encore plus avec le signe préféré.
S’ils sont légèrement en retard cette saison en Coupe du monde, les Tauliers de l’équipe française ont rappelé dans ces mondes que nous devions encore compter sur eux. Justine Braisaz-Bouchet, intitulée First sur le sprint, avant d’être tannée dans l’accusation, a montré qu’elle était une femme rendez-vous. Marquée par son début de saison compliqué, le titre de champion olympique du titre du début de masse de 28 ans avait choisi de retourner pour recharger ses batteries à la maison et zapper certaines courses de la Coupe du monde.
« J’avais vraiment besoin de cette coupe, ça m’a tellement fait pour être avec mes proches. C’était vraiment bénéfique pour moi »Elle avait confié, déménagé, à Franceinfo: Sport après son couronnement sur le sprint. Un choix rémunéré alors que les habits ont survolé toutes les courses de skis, elle qui a même rejoint le top 10 de la dernière course malgré un tir raté (13/20).
Julia Simon puis, en or sur l’individu, le relais mixte simple et enfin sur le relais féminin, avec une nouvelle démonstration. La Française, brillante l’année dernière sur les mondes (quatre titres et une médaille de bronze), avait ouvert son comptoir avec l’or du relais mixte, malgré une forte chute sur la tête. « »Cela m’a eu un impact énorme émotionnellement, plus que je ne le pensais. J’ai eu du mal à trouver ma concentration sur l’étape de tir « , Avait-elle admis dans la zone mixte. Avec maintenant quatre titres de carrière individuels en carrière, elle a égalé Marie Dorin-Habert.
« Mes mondes réussissent. J’avais des objectifs: l’or sur le relais féminin, une médaille individuelle et garder notre titre sur le mélange. J’ai réussi à le faire, je suis très heureux. »
Julia Simon, quadruple médaillé d’or des mondes 2025en zone mixte
Quentin Fillon Mailet enfin. Moins fiable sur son tir (78% au lit, 85% à la position), et moins régulièrement cette saison en Coupe du monde, avec seulement deux podiums individuels, le double champion olympique en règne était venu à Lenzerheide avec un objectif: à Obtenez son premier couronnement mondial individuel. S’il n’avait pas réussi, le Français de 32 ans a montré qu’il serait là, remportant du bronze sur le sprint puis sur l’individu, avant de monter au sommet de la simple boîte de relais mixte avec Julia Simon.
« Ces mondes sont positifs car au début, j’aurais signé pour ces quatre médailles. Mais j’aurais préféré échanger ces deux en bronze contre une or. Il y a encore de petits démons en termes de tir qui me compliquent la tâche.
Quentin Fillon Maillet, médaillée quatre fois aux mondes 2025En Franceinfo: sport
La jeune génération est déjà prête. Les meilleurs tricolors actuels dans la classification générale de la Coupe du monde – Lou Jeanmonnot, deuxième, et Eric Perrot, troisième – l’ont prouvé. À seulement 23 ans, le Franco-Norvian a remporté son premier titre mondial individuel grâce à une superbe tournage 19/20 et le meilleur moment sur la piste malgré un vent en rotation. Quelques jours plus tôt, il avait déjà éclaboussé son talent The Pitch (Zero Fault) lors du relais mixte, puis a remporté le bronze à la poursuite après un bon retour.
« Ces mondes étaient magiques: or et or individuel, que demander de plus? J’ai aimé » tout au long de la compétition, j’ai vérifié l’un de mes premiers grands objectifs avec ce couronnement individuel.
Eric Perrot, champion du monde de l’individuen zone mixte
Pour sa part, Océane Michelon (22 ans), plus jeune de l’équipe française avec Jeanne Richard, a sorti le grand jeu au meilleur moment. Jusqu’à présent, habitué aux lieux d’honneur de la Coupe du monde, décisif dans le relais féminin samedi, elle a remporté son premier podium en carrière sur le gong. « Pardonnez-moi l’expression mais à force de pisser autour du podium, nous avons fini par pisser dessus. Et cela fait quelque chose! » Elle nous a dit, a déménagé et amusé, après sa médaille d’argent.
Enfin, avec six podiums individuels depuis le début de la saison et des mondes très réussis en 2024, Lou Jeanmonnot savait qu’il était attendu. Si la biathlète de 26 ans -old a toujours réussi à se placer dans le top 6, elle n’aura gagné que du bronze individuel. Une évaluation pas nécessairement à la hauteur de ses attentes mais qui le confirme parmi les meilleurs du circuit. « Ce sont des mondes réguliers, mais ce n’est pas ce que nous ciblons dans une compétition comme celle-ci. J’espérais beaucoup mieux, donc c’est principalement la déception »,, admis biathlète.
« Nous pouvons être fiers de cette osmose entre les plus âgés et les plus jeunes qui tombent sur le circuit. Cela nous donne des garanties sur l’avenir du biathlon français. C’est une évaluation parfaite pour nous. »
Stéphane Bouthiliaux, directeur des équipes de biathlon françaisEn Franceinfo: sport
Depuis la première course des mondes, les Français avaient marqué les esprits. Sur le relais mixte, Julia Simon, Lou Jeanmonnot, Eric Perrot et Emilien Jacquelin ont écrasé la compétition en remportant plus d’une minute à l’avance. Les Blues ont ensuite doublé le pari sur le relais mixte simple (test absent des Jeux olympiques). Mais surtout, les deux relais les plus attendus ont assuré.
Archi-favorites, les Français ont finalement réussi à résonner La Marseillaise ! L’équipe la plus dense et redoutée du circuit, elle n’avait jamais réussi à gagner mais a été grimpée sur le podium à chaque étape de la Coupe du monde cette saison. Samedi, Lou Jeanmonnot, Océane Michelon, Justine Braisaz-Bouchet et Julia Simon ont néanmoins offert une vraie démonstration, la remportant plus d’une minute d’avance sur les Norvégiens.
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Pour sa part, le relais masculin tricolor était arrivé invaincu en Suisse, avec quatre victoires dans autant de courses sur le circuit de la Coupe du monde. Mais les Norvégiens de Johannes Boe voulaient remettre l’église au centre du village en la dominant en grande partie devant les Français (+ 41 »9) et ainsi gagner un couronnement qui les a échappés depuis 2021. « Il n’y avait pas de photo, la Norvège était plus élevée. Nous ne devons pas être déçus de cette médaille d’argent parce que nous avons bien combattu », « Je voulais mettre Eric Perrot en perspective.
« Ce que je veux surtout, ce sont les relais. Nous étions vraiment très bons. Nous les gagnons tous, sauf celui des garçons où nous terminons deuxièmement. Nous sommes ravis. S’il avait seulement été, cela, cela aurait déjà été suffisant .
Stéphane Bouthiaux, Biath Biathlon Bossen zone mixte
Des températures presque toujours positives, même dépassant 10 ° C à plusieurs reprises. Des rafales de vent. Un grand soleil. Si le site suisse de Lenzerheide offrait un cadre agréable, sa neige lourde et collante a fatigué les organisations. Mais a également rendu le travail des techniciens complexes. Ceux du personnel français ont particulièrement brillé, participant à la performance des Français.
« Compte tenu des différences dans certaines descente, nous pouvons dire que le travail des techniciens est très important, même déterminant dans la performance », assuré Stéphane Bouthiliaux, en Franceinfo: sport, rappelant l’importance de rester humble face aux conditions changeantes. « Il s’agit d’un interrogatoire permanent des toilettes, car il s’agit chaque jour de centaines de tests entre les skis, les structures et les produits. »
Les biathlètes ont régulièrement félicité l’ombre de l’ombre des techniciens. « Comme pendant l’accusation, nous avions des super skis, A témoigné Eric Perrot, après son couronnement sur l’individu. C’est un combo: une bonne forme, un bon coup et de bons skis, alors merci à l’équipe de m’avoir accompagné dans cette victoire. « « C’est vraiment toute l’équipe française. Sans eux, nous n’aurions pas tous ces résultats »Il leur a également rendu hommage Julia Simon à la fin du relais féminin où, comme un symbole, elle avait récupéré le drapeau tricolore des mains de Grégoire Deschamps, chef des techniciens et de l’étanchéité. Lui aussi, médaillé d’or en ski.
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