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Politique : aux universités d’été, le PS se déchire autour du nom d’un Premier ministre
Les universités d’été du Parti socialiste à Blois n’ont pas été l’occasion d’une réconciliation, vendredi 30 août. Le parti est divisé entre les partisans de l’autonomie et ceux du NPF.
(France Info)
Les universités d’été du Parti socialiste à Blois n’ont pas été l’occasion d’une réconciliation, vendredi 30 août. Le parti est divisé entre les partisans de l’autonomie et ceux du NPF.
Ils sont arrivés en ordre de marche derrière leur candidate à Matignon, Lucie Castets, ce vendredi 30 août à Blois (Loir-et-Cher).Je me sens soumaintenu par les quatre forces du Nouveau Front Populaire, et je n’ai pas l’impression que cela soit nié par les militants« , a-t-elle assuré. Mais lors des universités d’été du Parti socialiste (PS), plusieurs courants du parti ont exprimé quelques doutes, notamment sur sa capacité à rassembler.
Des élus locaux, mais aussi des figures de proue du Parti socialiste, opposants internes à Olivier Faure.Nous ne manifesterons pas le 7 septembre« , a déclaré Hélène Geoffroy, la présidente du Conseil national du PS. Pour cette opposition, c’est au seul Parti socialiste de décider d’un Premier ministre issu de la gauche démocratique, capable de compromis.
« Le rassemblement qui est là n’est pas celui qui se laisse séduire par le bruit et la fureur, qui construit sans cesse des polémiques qui endommagent durablement notre démocratie.« , insiste Michaël Delafosse, le maire (PS) de Montpellier (Hérault). Enfin, une autre hypothèse fait son chemin : celle de Bernard Cazeneuve à Matignon.
