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Non, l’automobile made in France ne part pas battue d’avance face à la concurrence européenne ou chinoise. Dans une étude approfondie publiée lundi, la Fondation pour la nature et l’homme et l’Institut pour la mobilité en transition (IMT) expliquent, chiffres à l’appui, pourquoi Renault et Stellantis ont tout intérêt à choisir la France pour produire des petites citadines. électrique.
Jusqu’au début de la décennie, le choix des deux constructeurs était plutôt de délocaliser l’assemblage des petits modèles vers des pays à bas coûts comme l’Espagne ou la Slovénie. Avec, à chaque fois, le même argument : il n’est pas possible de maintenir la production de ces voitures low-cost dans un pays où les coûts de production sont élevés.