Les désracteurs ont beaucoup de mal à le surmonter, car les rats sont devenus des toxicomanes et donc ingérables.
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
À Houston, Texas, La police essaie de se débarrasser des amateurs de drogue. Il y en a ceux trouvés dans beaucoup dans les rues de New York par exemple, mEh bien, au siège de la police de Houston, le problème est double. Ces rats consommer les médicaments stockés en preuve, le bâtiment, leÀ l’endroit où les enquêteurs gardent les documents pour convaincre leurs dossiers, saisis sur les lieux des crimes en particulier. LE Le problème est que cet endroit est écrasant avec des objets depuis des années. Il y a des sacs à dos, des milliers de vélos, DLes distributeurs de billets, DIl note sur un cas d’homicide de près d’un siècle.
Et donc toutes sortes de médicaments, en particulier de la marijuana. Il y a dans les locaux de la police de Houston plus de 180 tonnes de cannabis, que les rats aiment. Le dernier ne sont pas du tout dérangés dans ces éléments de preuve où la police vient rarement. Le directeur du City Medico-Legal Science Center explique, dans le Washington Post que ce sont des produits comestibles, qu’ils sont savoureux et que les goûts sont très variés. Et donc que les rats l’adorent.
Pour s’en débarrasser, le même directeur du Medico-Legal Science Center dit que la police a appelé des sociétés spécialisées, DIl déracteurs, des sociétés qui sont censées éradiquer les rongeurs. Mais ces entreprises ont du mal à le surmonter, parce que les rats sont littéralement devenus des toxicomans etIl est difficile à gérer, conclut le docteur Peter Stout. Les autres options qui sont sur la table seraient de vider les étagères de la pièce avec des salles de conviction.
Le maire souhaite détruire 1,2 million de preuves, en Premier place ceux qui ont un lien avec les stupéfiants de médicaments obtenus avant 2015. Il considère que ces preuves n’ont aucune valeur et ne sont plus nécessaires, et qu’ils n’aura plus aucun impact sur une condamnation. Mais les enquêteurs ne sont pas aussi catégoriques. Ils rappellent que les nouvelles techniques utilisées pour analyser les anciennes preuves ont résolu certains cas ces dernières années.
C’est ainsi que le tueur du Golden State a été trouvé par exemple en 2018 en Californie, En comparant l’ADN des scènes de crime stockées depuis la série de viol et de meurtres des années 1970 à Sites de généalogie. Un procureur spécial sera donc nommé pour choisir les pièces de condamnation à détruire. On pourrait bientôt terminer des rats drogués parmi la police de Houston.