Nouvelles locales

« Au RN, chiffrer, c’est s’exposer »

LA CHRONIQUE – Avec son lot de promesses à la crédibilité douteuse, la campagne des élections législatives nous entraîne dans l’ère post-économique.

Les campagnes électorales, ce n’est pas nouveau, permettent de faire des promesses à la crédibilité douteuse. Cette campagne, pour les élections législatives du 30 juin et du 7 juillet, va plus loin : bienvenue dans le temps de la post-économie. C’est la gauche qui nous a amenés là-bas. Enivrée par son accord électoral, cette chimère avec la tête de Mélenchon, le ventre de Sandrine Rousseau, les jambes de Fabien Roussel, les cheveux de Hollande, les plumes de Poutou et la queue de Glucksmann, le Nouveau Front populaire, s’est enivrée. avec ses propres chiffres. Rien n’est trop grand, il n’y a jamais assez de zéros : 30 milliards d’euros de recettes fiscales supplémentaires dès 2024, 100 milliards en 2025, 150 milliards après. Et tant de nouvelles dépenses.

Les économistes comme Olivier Blanchard, Xavier Jaravel ou Philippe Aghion qui s’étouffent devant cette débauche sont qualifiés d’orthodoxes bornés, ou pire, de sociaux-démocrates timides. Chez NFP, rien ne se perd, et tout se redistribue…

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Ray Richard

Head of technical department in some websites, I have been in the field of electronic journalism for 12 years and I am interested in travel, trips and discovering the world of technology.
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