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L’ancien président a été interrogé lundi sur les éventuels homologues diplomatiques du prétendu pacte de corruption avec feu le dictateur libyen.
Il a peut-être été interrogé « 50 à 60 heures pendant l’instruction » Et « 13 ou 14 h » Avant le tribunal, Nicolas Sarkozy prétend avoir à nouveau « Beaucoup de détails et de détails » à apporter. Le dixième jour du financement libyen soupçonné de sa campagne de 2007 le lundi 27 janvier, l’ancien président de la République a été interrogé sur les homologues diplomatiques du prétendu pacte de corruption qu’il aurait conclu avec Mouammar Kadhafi. En particulier, selon l’accusation, le retour sur la scène internationale du dictateur libyen, avec la libération des infirmières bulgares et sa visite à Paris après la victoire de Nicolas Sarkozy lors de l’élection présidentielle.
Soutenir les notes, l’ancien chef de l’État commence par fournir à la cour une chronologie détaillée de la reprise des relations diplomatiques de la France avec la Libye: « 2002 »Jacques Chirac, fraîchement élu, en fait « L’un des axes de sa politique » dans le monde arabe; « 2003 »l’ONU, « Sur l’impulsion de la France »,, « Soulever des sanctions » contre le régime libyen; « 2004 »,, « Six réunions de Franco-Libyan » avoir lieu. « Nous arrivons en 2005, quand il y aura cinq matchs de Franco-Libyan »continue Nicolas Sarkozy, sans retourner à sa visite à Tripoli le 6 octobre 2005, déjà discuté lors d’un interrogatoire précédent. Le défendeur dans « Prenez deux conclusions » :: «Le retour de la Libye dans la communauté internationale est bien avant (son) L’action et cela ne concerne pas seulement la France mais le monde entier « .
Les juges remettent en question l’accélération d’un dossier de souffrance pendant des années, après cette visite à l’automne 2005: le sort de cinq infirmières bulgares et d’un médecin palestinien, emprisonné et condamné à mort depuis 1999 pour avoir fait semblant d’inoculer le virus du sida aux enfants . Nicolas Sarkozy rapporte au barreau que c’est après avoir reçu leurs familles le 26 avril 2007, dans la période d’autarouche de l’élection présidentielle, qu’il prend l’engagement, s’il est élu, libéré. « J’étais sous le choc de cette réunion, mon objectif était de sortir du test de femmes parfaitement innocentes, accusées de choses incroyables »Il plaide. En ce qui concerne l’intervention de son ex-femme Cécilia Attias dans cette libération, Nicolas Sarkozy sort la carte de vie privée: son couple était alors sur le point de divorcer. Le 24 juillet, la première dame éphémère a escorté les infirmières d’un avion français en Bulgarie.
« Nous avons dû retirer ces malheureux de cette situation abominable, j’ai pensé que cela pourrait aider et cela a aidé. »
Nicolas SarkozyDevant la cour pénale de Paris
Les travaux de la Commission parlementaire d’enquête sur cette communication, puis les enquêtes de ce dossier ont souligné le rôle de la Commission européenne, qui travaillait depuis plusieurs années pour les faire sortir des prisons libyennes. Que Nicolas Sarkozy répond à ceux qui ont estimé qu’il avait « Cécilia a envoyé pour des infirmières déjà libérées » ? « Il est clair que cette grande œuvre de la Commission n’avait pas réussi. Le petit travail, le mien, a conduit à la libération. Disons que c’est un succès commun »balaie l’ancien locataire de l’Elysée, croyant que « Le fruit était mûr ». Une version corroborée à l’époque par le président de la Commission européenne lui-même, José Manuel Durao Barroso, comme indiqué Libérer.
Nicolas Sarkozy martèle que « Sans la libération des infirmières, M. Kadhafi n’aurait pas été venu à Paris » Fin 2007, soulignant que le dictateur libyen avait également planté sa tente les jours précédents à Lisbonne au Portugal et en « Les jardins royaux » d’Espagne, l’ancien président précise que ce n’était pas « Pas de visite d’État » Et que la France n’avait pas « payé » ni l’un ni l’autre « organisé » La sortie dans « Boat-flèche »là « Visite au Louvre » Ou « Chasse à la rambouillet »pris en charge par « La partie libyenne ». Pour l’entendre, cette visite était une corvée, « Complexe à gérer parce que le personnage est ingérable ».
« Je viens d’être élu, l’enthousiasme est considérable, j’ai un travail considérable, et je dois supporter deux jours et demi de Kadhafi à Paris, franchement, je serais passé. »
Nicolas SarkozyDevant la cour pénale de Paris
Malgré cette manifestation, l’un des trois procureurs du bureau du procureur financier national fixe les pieds dans le plat: « Est-ce une visite à l’homologue d’un pacte de correction? Je dois vous poser la question. » « Indigne »Nicolas Sarkozy se fait emporter: « À aucun moment, nous ne pouvons voir cette visite comme celle de deux complices trouvés après un accord juteux. C’était tendu dès la première minute. » Mais cela « Chemin de Croix » en valait la peine, soutient l’ex-président, car cela « qu’il reste dans l’histoire »,, « C’est que les infirmières bulgares et le médecin palestinien ont été libérés ».
Expliquant qu’il n’avait plus de relations avec Mouammar Kadhafi après cette visite controversée, le dictateur libyen étant « Le seul » dans le monde arabe pour avoir séché son sommet « extraordinaire » De l’Union pour la Méditerranée en 2008, Nicolas Sarkozy répète qu’il y a « Pas eu le début d’un début de la moindre complicité » avec le dictateur libyen. « L’idée qu’il pourrait me retenir est brisée par la pression que je lui ai exercée pour les infirmières, à la pression que je mets sur les droits de l’homme »fait valoir celui qui défend « realpolitik » et la nécessité de gérer « Les états des voyous ».
Pendant le reste de son mandat, Nicolas Sarkozy assure qu’il « N’entends plus parler de Kadhafi ». « Avant 2011, personne ne parle de financement pour ma campagne »Il note. Il s’agit de la thèse de défense: le clan Kadhafi se serait vengé de la reconnaissance de Nicolas Sarkozy du Conseil de transition libyen national et de son rôle actif dans l’intervention occidentale. Le tribunal a encore plusieurs semaines avant lui pour explorer cette version.
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