Divertissement

Au Festival de Cannes, Donald Trump a failli gravir les marches grâce à Sebastian Stan

Sebastian Stan incarne Donald Trump dans le film « L'Apprenti », présenté le 20 mai 2024 à Cannes.
CHRISTOPHE SIMON / AFP Sebastian Stan incarne Donald Trump dans le film « L’Apprenti », présenté le 20 mai 2024 à Cannes.

CHRISTOPHE SIMON / AFP

Sebastian Stan incarne Donald Trump dans le film « L’Apprenti », présenté le 20 mai 2024 à Cannes.

FESTIVAL DE CANNES – Donald Trump a-t-il sauté son procès à Manhattan pour apparaître sur les marches du Festival de Cannes ? Non, mais presque. Sebastian Stan, qui incarne l’ancien président américain dans le film L’apprenti, a foulé le tapis rouge ce lundi 20 mai.

Cheveux mi-longs, barbe et costume élégant, l’acteur roumano-américain a posé devant les photographes sur la Croisette à l’occasion de la présentation du film qui retrace la montée au pouvoir du milliardaire et magnat de l’immobilier. Le titre du long métrage fait référence à l’émission de téléréalité présentée par Donald Trump au début des années 2000.

Sur les marches, Sebastian Stan était accompagné du réalisateur iranien Ali Abbasi (Les Nuits de Machhad), par Maria Bakalova qui incarne Ivana, l’ex-femme de Donald Trump ou encore par Martin Donovan, qui incarne le père de l’ancien président de nouveau candidat à l’élection présidentielle de 2024.

Transformation physique

Des photos du tournage récemment révélées ont montré l’étendue de la transformation de Sebastian Stan pour ressembler au personnage qu’il joue. Cheveux coiffés, costume trois pièces et corps rebondi, Sebastian Stan s’est également fait blondir pour incarner un jeune Donald Trump sur le point de bâtir son empire.

Aux côtés de Sebastian Stan dans L’apprentil’acteur Jeremy Strong (vu dans la série Succession) prête ses traits à l’avocat Roy Cohn. Le film, qui se déroule dans les années 1970 et 1980 à New York, raconte l’ascension de Donald Trump, qui tente de rompre avec l’influence de son père en scellant un pacte avec Roy Cohn. Le milliardaire va profiter du carnet d’adresses de son ami, puis l’abandonner à son sort lorsqu’il tombe malade du sida.

« Nous voulions faire une version punk rock d’un film historique, ce qui signifiait qu’il fallait garder une certaine énergie, un certain esprit, (ne pas) être trop pointilleux sur les détails et sur ce qui est vrai ou faux »Abbasi a récemment déclaré Salon de la vanité.

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Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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