Peu après la nomination de Michel Barnier à Matignon, son prédécesseur Gabriel Attal avait promis de « continuer » à « tisser » le « lien » qui l’unit aux Français dans une vidéo qu’il a relayée sur X. « Je suis animé par une seule ambition, servir et être utile à mon pays », a ajouté l’ancien Premier ministre, présent à la marche silencieuse de Poissy en hommage au jeune Nicolas.
Le Premier ministre sortant Gabriel Attal a promis jeudi de « continuer » à « tisser » le « lien » qui l’unit aux Français, dans un message publié sur X après la nomination de son successeur à Matignon Michel Barnier. « En un mot : merci. Le lien que nous avons, c’est ce que j’ai de plus précieux. Comptez sur moi pour continuer à le tisser », a écrit Gabriel Attal, qui nourrit notamment l’ambition de briguer la tête du parti Renaissance.
En un mot : merci.
Le lien qui nous unit est la chose la plus précieuse que j’ai. Comptez sur moi pour continuer à le tisser. pic.twitter.com/wYHI3cX6HW
— Gabriel Attal (@GabrielAttal) 5 septembre 2024
« Je suis animé par une seule ambition, servir et être utile à mon pays », a ajouté l’ancien Premier ministre dans une courte vidéo jointe au message. « Urgence après urgence, combat après combat, j’ai voulu agir en priorité pour ces Français qui doutent, ces Français qui travaillent et qui ont pourtant une vie compliquée », a insisté Gabriel Attal, chef de file des députés Ensemble pour la République, soulignant sa « détermination » à « agir pour les valeurs de la République ».
Présent à la marche silencieuse pour Nicolas à Poissy
Lors de la nomination par l’Élysée de son successeur, Gabriel Attal a participé à une marche silencieuse contre le harcèlement scolaire à Poissy dans les Yvelines. « Quelles que soient les circonstances institutionnelles, politiques du pays, je serai avec vous », a déclaré le chef du gouvernement démissionnaire devant la famille du jeune Nicolas, qui a mis fin à ses jours à cause de ce fléau.
« Quand un jeune se suicide parce qu’il ne supporte plus d’être harcelé, c’est toute la société qui est atteinte » et « responsable. La lutte contre le harcèlement n’a aucune couleur politique », a-t-il conclu, promettant de continuer à le « combattre ».
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