Le conseil d’administration d’Atos et la conciliatrice Hélène Bourbouloux sont déterminés à agir vite. Après avoir reçu quatre offres de sauvetage, ils en excluent déjà une, celle de Bain Capital.
A l’issue du conseil d’administration de l’ancien fleuron informatique dimanche soir, Atos a confirmé avoir examiné les propositions de son premier actionnaire, David Layani allié à Butler Industries, de la nouvelle alliance entre les banques et les obligataires, et le tandem formé entre Daniel Kretinsky et le fonds alternatif Attestor, ainsi que le fonds de private equity américain Bain.