C’est l’histoire d’un ancien fleuron de la « French Tech » qui vacille depuis des années. Atos, dont la dette avoisine les 5 milliards d’euros, a perdu 98% de sa valeur boursière en cinq ans. Après avoir été au bord du précipice à de nombreuses reprises, le géant français des services numériques a bouclé lundi une étape cruciale de son sauvetage par les créanciers.
Après le retrait fin juin du consortium emmené par Onepoint, premier actionnaire d’Atos, les créanciers et les banques ont accepté de reprendre et de sauver l’entreprise elles-mêmes. L’accord comprend 1,68 milliard d’euros (1,61 milliard de francs suisses) de nouveaux financements de la part des créanciers existants et une augmentation de capital de 233 millions d’euros. La dette devrait être réduite d’environ 3 milliards d’euros.
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