C’est précisément ce qui est fait. Atos est séparé en plusieurs entités, avec différents repreneurs.
Mais dans les domaines stratégiques (défense, nucléaire, HPC…), il n’est pas étonnant que l’État intervienne pour maintenir la souveraineté et l’empêcher de s’exporter.
Sachant en outre qu’a priori la branche qui est rachetée par l’Etat n’est pas déficitaire.