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après Vencorex, l’usine Arkema se met en grève

après Vencorex, l’usine Arkema se met en grève

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Temps de lecture : 1min – vidéo : 2min

Grève
Le chimiste Vencorex n’a reçu qu’une offre de rachat qui ne conserverait que 25 salariés sur les 450 du site de Pont-de-Claix (Isère), près de Grenoble.
(France2)

Le chimiste Vencorex n’a reçu qu’une offre de rachat qui ne conserverait que 25 salariés sur les 450 du site de Pont-de-Claix (Isère), près de Grenoble.

En grève pour soutenir l’entreprise voisine, les salariés de l’usine chimique Arkema sont mobilisés. Un sous-traitant a été placé en redressement judiciaire. « Nous avons commencé une grève par solidarité et aussi parce que nous nous inquiétons pour l’avenir étant donné que nous sommes tous interdépendants »explique un syndicaliste. « Nous n’allons pas laisser tomber l’usine avec 500 hommes »ajoute un employé.

Tout le monde craint un effet domino, car ce sous-traitant leur fournit le sel, indispensable à leurs activités : la fabrication du chlore. Sans cela, l’usine Arkema est menacée. Les ouvriers de l’usine voisine sont en grève. Un seul acheteur s’est manifesté : son concurrent chinois, plus compétitif. Problème : sur les seuls 450 emplois, 25 seraient préservés.

Regardez le rapport complet dans la vidéo ci-dessus.

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