Après son show olympique emblématique, Aya Nakamura se moque de ses détracteurs
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Après son show olympique emblématique, Aya Nakamura se moque de ses détracteurs

Après son show olympique emblématique, Aya Nakamura se moque de ses détracteurs

Jeanne Le Borgne

Ciblée par l’extrême droite lorsqu’elle a annoncé sa participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, Aya Nakamura profite des bénéfices de son show pour leur rendre la pareille.

Connue pour son franc-parler et ses prises de position directes, Aya Nakamura a d’abord snobé les opposants à sa participation à la cérémonie d’ouverture des JO de Paris en chanson avec Doggy. Dans cet opus aux mélodies pop, la chanteuse de 29 ans a donné le ton en déclarant : « Pas besoin de me valider, je suis en couverture des magazines » et « Je n’ai pas d’ennemis, ce sont eux qui ne m’aiment pas ».

Et c’est une fois de plus avec une pique dont elle seule connaît le secret qu’Aya Nakamura a décidé de faire taire définitivement ceux qui auraient encore quelque chose à dire sur sa participation à l’émission. Sur Instagram, la chanteuse star a repris l’information selon laquelle sa prestation avait donné lieu au « plus gros pic d’audience télé de l’histoire en France » et a tout simplement écrit « Yet à bora malila », soit « Pourtant, elle vient du Mali ».

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Une référence à ses origines maliennes (Aya Nakamura est née à Bamako), qui avaient été critiquées par l’extrême droite lorsque « L’Express » avait annoncé que la chanteuse francophone la plus écoutée à l’international avait été choisie par Emmanuel Macron pour participer à la cérémonie d’ouverture.

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Une performance largement saluée

Vendredi 26 juillet au soir, Aya Nakamura a littéralement embrasé l’Institut de France dans sa robe Phénix signée Dior, en interprétant un mix de ses chansons « Pookie » et « Djadja », entrecoupé d’un court hommage à Charles Aznavour, via un extrait de « For me Formidable ». Le tout accompagné par la Garde républicaine et ses six danseurs. Un surprenant croisement de modernité, qui a finalement fait l’unanimité – notamment auprès de la jeune génération, qui a décidé de rebaptiser le Pont des Arts en Pont Aya.

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