CONTREPOINT – Lui qui avançait l’épée à la main, l’ancien Premier ministre doit désormais se convertir à l’équilibrisme. D’abord pour préserver l’unité de son groupe.
Une image à préserver, une place à retrouver. Après une carrière éclair qui a fait de lui le plus jeune Premier ministre que la France ait jamais connu, Gabriel Attal doit apprendre à voir à long terme. Et à conserver son statut d’acteur majeur de la vie politique maintenant qu’il n’est plus sur le piédestal de Matignon.
En termes d’image, le président du groupe Ensemble pour la République ne passe pas de la lumière à l’ombre. Le baromètre Verian-Epoka/Figaro Magazine de la rentrée le crédite de la meilleure cote d’avenir devant Édouard Philippe et Jordan Bardella. Mais rien n’est plus précaire que le capital d’image. Ce qui a propulsé Attal au sommet des sondages, c’est la rapidité fulgurante de son ascension – ministre de l’Education nationale à 33 ans, Premier ministre à 34 ans ; mais c’est aussi la rapidité de son action – l’interdiction de l’abaya dès son arrivée rue de Grenelle, la réponse à la crise agricole dès son installation à Matignon. C’est enfin une ligne claire – l’autorité…
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