Après avoir brillé aux JO de Paris 2024, Yabusele se rapproche des Sixers de Philadelphie
Selon The Athletic, Guerschon Yabusele serait en pourparlers avancés avec Philadelphie pour revenir en NBA. L’ailier fort du Real Madrid, qui a impressionné l’équipe de France aux Jeux olympiques de Paris 2024, serait sur le point de signer avec les Sixers.
Son affiche vertigineuse de LeBron James fait désormais partie de la légende. Et Guerschon Yabusele pourrait bien croiser le chemin du leader de la Team USA dans quelques mois en NBA. Selon The Athletic, l’ailier fort de l’équipe de France, impressionnant aux JO de Paris 2024, serait en discussions avancées avec Philadelphie.
Selon certaines informations, le joueur de 28 ans serait en train de régler le rachat de son contrat d’environ 2,3 millions d’euros avec le Real Madrid afin de signer avec les Sixers, qui devraient payer environ 770 000 euros, comme le permet le règlement de la NBA.
Avec Embiid, Maxey et Batum chez les Sixers
Le natif de Dreux (Eure-et-Loire) a déjà évolué aux Etats-Unis sous les couleurs de Boston, qui l’a drafté en seizième position en 2016, dans la même promotion que Ben Simmons (n°1), Jaylen Brown (n°3), Jamal Murray (n°7), Domantas Sabonis (n°11) ou Pascal Siakam (n°27). Mais il avait très peu joué lors de son passage chez les Celtics.
Avec une moyenne de 14 points, Guerschon Yabusele a été l’un des hommes forts des Bleus lors des Jeux olympiques 2024, qui ont débuté à Villeneuve-d’Ascq et se sont terminés à Bercy par une défaite en finale contre Team USA (87-98). Après ses prestations séduisantes, le colosse de 2,03 m a réclamé une « seconde chance en NBA ». « Je suis prêt », a écrit sur les réseaux sociaux celui qui pourrait devenir le coéquipier de Joël Embiid, Tyrese Maxey et Nicolas Batum en Pennsylvanie.
« Ça me donne vraiment envie d’y aller »
« J’ai eu l’expérience de jouer quelques matchs, même les playoffs, mais je n’ai pas eu l’expérience d’avoir une saison où je suis là, où je peux faire mon basket », a-t-il expliqué dans une interview avec les médias FirstTeam. « Le fait de ne pas l’avoir fait, ça me donne vraiment envie d’y aller, de montrer et de prouver. »
