Face à l’errance médicale à laquelle sont confrontées les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), Midi Libre a décidé de recueillir des témoignages.
Près d’une femme sur sept souffre du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Un chiffre qui reste relatif puisque, selon l’OMS, jusqu’à 70 % des femmes atteintes du SOPK ne sont pas diagnostiquées dans le monde. Et pour ceux qui le sont, c’est généralement le résultat de nombreuses années d’errance médicale.
Considéré comme l’une des principales causes d’infertilité chez la femme par l’OMS, ce trouble hormonal se caractérise par de nombreux symptômes comme l’hirsutisme, l’acné, des règles irrégulières, une prise de poids, etc.
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