Anthony Delon constate les dégâts en vidéo, Loubo à ses côtés
Sur Instagram, Anthony Delon s’est plaint des dégâts causés par les sangliers sur le domaine de Douchy qui appartenait à son père, feu Alain Delon.
A sa gauche, Loubo, le fidèle chien de son père Alain Delon, et à sa droite, Blew, son chien et la sœur de Loubo. Fin septembre, Anthony Delon est de passage à Douchy. Au sein du domaine ayant appartenu à son père pendant 40 ans, le fils aîné de l’acteur décédé le 18 août a constaté de sérieux dégâts.
La terre retournée, les trous dans la pelouse… Le domaine de 120 hectares du clan Delon a (une nouvelle fois) été victime des ravages des sangliers. « Ça recommence », entend-on dire Anthony Delon dans une vidéo partagée sur son Instagram. Entouré de ses deux chiens, le demi-frère d’Anouchka et Alain-Fabien semblait se promener sur les terres de son père.
Que va devenir la propriété d’Alain Delon à Douchy ?
Si l’on sait désormais que le fidèle chien du Samouraï ne sera pas euthanasié comme l’avait envisagé l’acteur, qu’en est-il du domaine de 120 hectares qui lui a appartenu pendant plus de 40 ans ? Quant aux enfants, aucune nouvelle, aucune déclaration publique à ce sujet. Ils semblent s’y relayer depuis la disparition de leur père. Alors qu’une bataille juridique et médiatique les oppose concernant la santé du patriarche, peut-être parviendront-ils à s’entendre sur le sort de l’ancienne demeure familiale.
Avant sa mort, Alain Delon avait été clair sur la succession Douchy : « Personne n’aura les moyens de la faire vivre. » Dans les colonnes de Paris Match, il ajoutait : « Je les ai eues grâce à mes soixante ans de carrière, mais Douchy est hors de ma portée. Ma fille voulait l’avoir, mais elle s’est rendu compte que c’était impossible financièrement. »
Un avis partagé par le maire de la commune du Loiret, Abel Martin, qui estime que le domaine « ne sera pas facile à vendre. Surtout si M. Delon y est enterré ». La solution serait donc d’en faire un musée, un lieu où admirateurs et proches pourraient se rendre pour honorer la mémoire du dernier monstre sacré du cinéma français. « Cela permettrait à sa réputation de perdurer », a-t-il déclaré au « Parisien » le 20 août. Mais rien n’est encore annoncé…