MARK RALSTON / AFP
Angelina Jolie et Brad Pitt, ici à Hollywood, en Californie, en novembre 2015.
PEOPLE – Ce sont des éléments nouveaux dans le contexte de l’altercation entre Brad Pitt et Angelina Jolie, datant de 2016, dans un jet privé.
Jeudi 4 avril, Angelina Jolie a déposé une requête auprès de la Cour supérieure de Los Angeles, dans laquelle elle affirme que « L’histoire des violences physiques (à son encontre) de la part de Brad Pitt a commencé bien avant le voyage en avion de la famille entre la France et Los Angeles en septembre 2016 ». Elle ne donne pas plus de détails sur les abus présumés antérieurs, indique CNN, qui a eu accès à la demande.
Angelina Jolie indique également qu’elle n’a jamais porté plainte contre Brad Pitt, en lien avec l’altercation de 2016, car elle pensait que « « La meilleure solution était que Brad Pitt accepte ses responsabilités et aide la famille à se remettre du stress post-traumatique qu’il (avait) causé. ».
Le différend qui oppose depuis des années Angelina Jolie et Brad Pitt au sujet de leur domaine viticole français, Château Miraval, est également abordé dans ce nouveau document.
L’actrice déclare ainsi avoir tenté de vendre à Brad Pitt sa participation dans ce domaine. Mais leurs négociations ont finalement échoué après que Brad Pitt ait conditionné la vente à la signature par Angelina Jolie d’un accord de confidentialité selon lequel « a interdit à Angelina Jolie de parler (autrement qu’au tribunal) des abus commis par Brad Pitt sur Angelina Jolie et leurs enfants en tentant de lier la réputation personnelle de Brad Pitt aux affaires de Miraval ».
« Au procès, Angelina Jolie prouvera… pourquoi Brad Pitt était si préoccupé par sa propre mauvaise conduite »
Le dossier de cette semaine fait suite au procès de Brad Pitt en 2022, dans lequel l’acteur affirmait que lui et son ex-femme avaient un accord selon lequel ni l’un ni l’autre ne vendrait sa participation dans la cave sans le consentement de l’autre.
Toujours dans ce document déposé par Angelina Jolie, elle indique avoir accepté de signer un accord de confidentialité qui se limitait simplement à ne pas dénigrer les activités viticoles de Miraval dans le cadre de son accord initial, à vendre à Brad Pitt sa participation dans le domaine viticole, qu’ils avaient à l’époque, il était sur le point d’être finalisé.
« Au procès, Angelina Jolie prouvera par des témoignages, des courriels, des photographies et d’autres preuves pourquoi Brad Pitt était si préoccupé par sa propre mauvaise conduite qu’il a fait échouer son propre accord visant à racheter les intérêts d’Angelina. Jolie à Miraval, parce qu’elle a refusé d’accepter son nouvel accord de confidentialité étendu »peut-on encore lire dans le document.
« M. Pitt a refusé d’acheter les intérêts de Mme Jolie alors qu’elle ne voulait pas être réduite au silence par son accord de confidentialité. En refusant d’acheter ses intérêts puis en la poursuivant en justice, M. Pitt a directement remis en question pourquoi ce contrat était si important pour lui. et ce qu’il espérait que cela enterrerait : les abus qu’il avait infligés à Mme Jolie et à leur famille »Paul Murphy, l’avocat d’Angelina Jolie, a déclaré à CNN dans un communiqué publié jeudi. « Après huit mois de retard, cette requête demande à la Cour de forcer M. Pitt à produire enfin cette preuve. »
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