Dans une requête déposée jeudi auprès de la Cour supérieure de Los Angeles, en lien avec la bataille juridique de l’ancien couple au sujet du château de Miraval, l’actrice a assuré que les violences physiques de Brad Pitt avaient commencé « bien avant 2016 ».
La bataille juridique entre Angelina Jolie et Brad Pitt se poursuit sans relâche. Jeudi 4 avril, l’actrice a déposé une requête auprès de la Cour supérieure de Los Angeles, dans laquelle elle affirme que « les antécédents de violence physique de Brad Pitt ont commencé bien avant 2016 ».
Dans des documents judiciaires rendus publics en octobre 2022, l’actrice accusait son ex-mari d’avoir été violent avec elle et leurs enfants lors d’un vol privé de la France vers la Californie en 2016. Six jours après ce voyage, Angelina Jolie demandait le divorce de Brad Pitt. .
Selon ces nouveaux documents relayés par CNN, Angelina Jolie n’a toutefois pas donné de détails sur ces abus présumés mais indique qu’elle n’a jamais porté plainte contre Brad Pitt à l’époque car elle pensait que « la meilleure solution était qu’il accepte la responsabilité ». et aider la famille à se remettre du stress post-traumatique qu’il (avait) causé.
Signature d’un accord de confidentialité
Dans sa demande, l’actrice de 48 ans évoque également la dispute qui l’oppose à Brad Pitt depuis plusieurs années autour de la Château de Miravalvignoble que le couple possédait en France, dans le Var, avant leur divorce.
Après leur séparation, Angelina Jolie a vendu ses parts du domaine en 2021 à Tenute del Mondo, filiale du groupe Stoli, contrôlé par l’oligarque russe Yuri Shefler. Une vente contre laquelle Brad Pitt a déposé une plainte en juin 2023.
Car selon l’acteur, son ex-épouse aurait revendu ses parts « en secret » alors qu’ils s’étaient mis d’accord sur l’achat de la propriété – détenue à 60% par Brad Pitt et 40% par Angelina Jolie – « de ne jamais vendre sans son accord ». de l’un ou de l’autre.
Dans sa nouvelle requête, déposée jeudi, Angelina Jolie déclare toutefois avoir tenté de vendre sa participation dans ce domaine à Brad Pitt. Mais selon l’actrice, leurs négociations ont finalement échoué après que l’acteur ait conditionné cette vente à la signature, par Angelina Jolie, d’un accord de confidentialité « au sujet de son agression ».
Selon la motion relayée par CNN, cet accord « interdisait à Jolie de ‘mentionner (autrement qu’au tribunal) les abus commis par Pitt contre Jolie et leurs enfants en tentant de lier la réputation personnelle de Pitt aux affaires de Miraval ».
Des affirmations « totalement fausses »
L’actrice précise néanmoins qu’elle a accepté de signer un accord de confidentialité qui se limitait à ne pas dénigrer les activités viticoles de Miraval dans le cadre de son accord initial avec Brad Pitt pour vendre ses parts dans le domaine viticole, qu’ils étaient sur le point d’être finalisé à l’époque. .
« M. Pitt a refusé d’acheter les intérêts de Mme Jolie alors qu’elle ne voulait pas être réduite au silence par son accord de confidentialité », a déclaré Paul Murphy, l’avocat de Jolie, dans un communiqué envoyé à CNN.
Après une enquête du FBI, Brad Pitt n’a jamais été arrêté ni inculpé pour des accusations de violence de la part d’Angelina Jolie. De son côté, l’acteur a toujours démenti ces allégations qu’il a qualifiées de « totalement fausses » par l’intermédiaire de son porte-parole.