Alpine : le groupe Renault confirme la mort de son moteur
Article mis à jour avec des nouveaux éléments ce lundi 30 septembre à 16h45
Déception, consternation, colère. Il y a quelques jours, jeudi 26 septembre, les représentants du personnel d’Alpine Racing France exprimaient leurs plus vives inquiétudes quant au résultat du vote consultatif qui devait avoir lieu quatre jours plus tard. Malgré une rencontre jugée « positive » avec Luca de Meo, directeur général du groupe Renault, le 20 septembre, où ils ont pu détailler leurs propositions pour le maintien du programme F1 2026 et la préservation du site historique de Viry-Châtillon, ils ont été toujours en attente d’un retour. Ils s’engageaient sur la compétitivité du Power Unit 2026, sur un résultat sportif de premier plan et sur la possibilité de passer à une voie alternative, une fois la voiture testée courant 2026. Ce pacte de compétitivité qu’ils portaient et qui affichait leur certitude d’avoir produit un groupe motopropulseur de référence n’a pas été entendu et retenu. Mais est-ce déjà arrivé