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Le boxeur algérien Imane Khelif a dénoncé de nouveaux « FAUX » Les accusations de l’International Boxing Association (IBA), qui se bat sans relâche contre la présence du champion olympique dans la catégorie féminine, et a indiqué qu’elle n’avait pas exclu de réponse à la justice. L’IBA a été exclue du mouvement olympique mais contesté, lors des Jeux olympiques de 2024 à Paris, le droit d’Imane Khelif et du Taïwanais Lin Yu-Ting pour rivaliser chez les femmes. Elle a annoncé lundi une offensive juridique contre le Comité international olympique (CIO).
Iba a « Toujours prononcé les accusations sans fondement qui sont fausses et insultantes »a écrit Imane Khelif dans un communiqué de presse publié sur Instagram mardi soir 11 février: « Mon équipe examine soigneusement et prendra toutes les mesures juridiques nécessaires pour garantir que mes droits et les principes de la concurrence équitable sont respectés (…) J’y reste et je n’irai nulle part. Je me battrai sur le ring, je me battrai devant le tribunal et je me battrai avant l’opinion publique jusqu’à ce que la vérité soit indéniable. »»
Iba, dirigée par le russe Umar Kremlev, a dit « Pour déposer une plainte auprès du procureur général en Suisse »Stefan Blätter, et préparez-vous « Des plaintes similaires » avec les procureurs généraux de France et les États-Unis. Huit mois après le tournoi olympique, IBA considère qu’il a renforcé dans son offensive par le décret signé par le président américain, Donald Trump, dans le but d’empêcher les athlètes transgenres de pratiquer les sports féminins. Ni Imane Khelif ni Lin Yu-Ting ne sont des femmes transgenres, mais selon l’organisation, ce texte « Prouve que l’IBA est resté ferme, protégeant à juste titre les boxeurs de la concurrence déloyale ».
Privé depuis 2019 de l’organisation de son propre tournoi olympique en raison d’un coup de problème de gouvernance, l’IBA fait valoir que « Selon la loi suisse, toute action ou inaction qui présente un risque pour la sécurité des participants à un concours mérite une enquête et peut servir de base à des procédures pénales ». L’organisation prétend avoir exclu les deux athlètes du monde 2023, qui ont toujours contribué aux femmes, car elles transporteraient des chromosomes xy: preuve de masculinité, martèle l’IBA. Le CIO, qui a géré le tournoi olympique de boxe en direct en raison d’une fédération internationale reconnue, s’appuyait à l’inverse sur le passeport des deux concurrents.
Imane Khelif a rappelé dans son communiqué de presse qu’elle avait déjà, dans le passé, devoir affronter « Adversité ». « J’ai lutté contre chaque revers, chaque fausse accusation, chaque tentative de m’effacer. Et j’ai gagné »dit-elle, assurant qu’elle continuerait à concourir « Avec honneur et intégrité ».
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