A deux jours du choc à venir entre le LOSC et Angers, Alexandre Dujeux s’est montré particulièrement élogieux envers Bruno Genesio, son homologue et adversaire du week-end.
Promu en Ligue 1, Angers a signé son retour par une défaite à domicile face au RC Lens lors de la première journée de championnat. Ce samedi, c’est toujours la tête levée vers le Nord que ses hommes se déplaceront à la Décathlon Arena – Stade Pierre Mauroy pour y affronter le LOSC, un adversaire que les Angevins semblent redouter : « Lille est une équipe à l’image de son entraîneur, qui fait toujours bien jouer ses groupes, une équipe qui joue collectivement avec un bon jeu de position et une envie d’aller de l’avant. Ils ont des joueurs de qualité. Ce qu’il a fait à Lyon, à Rennes et ce qu’il a fait aujourd’hui, leur jeu est dans le style de Bruno Genesio, c’est un entraîneur de qualité. On s’attend à un match très difficile, de très haut niveau. Ils ont des principes de jeu forts. »analyse Alexandre Dujeux, technicien d’Angers SCO. Nous nous attendons à un match passionnant pour lequel nous devrons être prêts. C’est un très bon match. »continua-t-il, lui-même impatient de jouer ce match.
Pour l’emporter, il compte évidemment sur la solidité de ses hommes, mais pas seulement. Le technicien angevin compte sur une déconcentration des Dogues, obsédés par les enjeux européens : « Nous sommes les petits et nous évoluerons toujours à ce poste, ce qui peut être un avantage. C’est peut-être une pression supplémentaire pour l’adversaire qui est obligé d’obtenir des résultats. (…) Il faut être détendu. Croire en nous et surtout ne pas se fixer de limitesil commence. Est-ce qu’ils vont se laisser distraire ? J’espère, évidemment, mais avant tout, qu’on sera là pour faire un grand match. Je ne sais pas si ça suffira, mais au moins si on fait ce qu’il faut par rapport à ce qu’on a prévu, ce serait vraiment bien. Lille a beaucoup de matches, mais c’est un club taillé pour ça. »a-t-il conclu, prêt à saisir toutes les opportunités que lui offrent les Dogues pour frapper là où ça fait mal.
Angers SCO : La conférence de presse
