Affaire Nicolas Bedos : Ségolène Royal tacle violemment l'acteur condamné à six mois, "un prédateur sexuel"
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Affaire Nicolas Bedos : Ségolène Royal tacle violemment l’acteur condamné à six mois, « un prédateur sexuel »

Affaire Nicolas Bedos : Ségolène Royal tacle violemment l’acteur condamné à six mois, « un prédateur sexuel »

Résumé

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Depuis la décision de justice contre Nicolas Bedos, les commentaires vont bon train. L’acteur de 45 ans était condamné à 6 mois de prisonà son domicile et sous surveillance électronique, pour agression sexuelle sur deux femmes. Par ailleurs, l’acteur a pour obligation de recevoir des soins. L’avocat de l’ex de Doria Tillier est sorti très bouleversé du tribunal correctionnel de Paris. Pour moi Julia Minkowski, « la justice s’en sort grâce à un bon coup de pub parce que puisque c’est Nicolas Bedos, on va en parler, ça va être retentissant » assure celui qui fera appel de cette décision.

Une décision largement discutée sur tous les plateaux télé. BFM TV a d’ailleurs commenté les propos de l’avocate alors que selon elle, la justice y cherche « exemplarité« . Propos contestés avec Ségolène Royal présent sur le plateau en fin de soirée. Pour l’ancien ministre, Nicolas Bedos est « un prédateur sexuel« . Pour l’ex-compagne de François Hollande, cela ne fait aucun doute, les faits sont plus graves que ceux annoncés.

« Si les juges ont pris cette décision, ce n’est pas pour un baiser dans le cou. C’est insupportable d’entendre ça. C’est parce qu’il y a des choses lourdes dans le dossier qu’ils n’ont pas forcément mis sur la place publique » déclare-t-elle. D’ailleurs, pour l’homme politique de 71 ans, c’est un « privilège« qu’il n’ira pas en prison.

Ségolène Royal face à Nicolas Bedos : elle persiste et signe

Poursuivant ses propos, Ségolène Royal n’a pas mâché ses mots : «Ce serait un gamin de banlieue, tu crois qu’il aurait un bracelet électronique  » a déclaré la mère de quatre enfants, interrogeant les autres invités sur le plateau. Par ailleurs, pour elle, la popularité de Nicolas Bedos et d’autres comme Patrick Poivre-d’Arvor (qu’elle cite, ndlr) pose question.

Pour l’ancien député des Deux-Sèvres, ces gens ont « beaucoup de pouvoir, beaucoup d’argent ils peuvent donc embaucher beaucoup d’avocats, demander des avis d’experts, des deuxièmes avis. Le pauvre inconnu qui bénéficie de l’aide juridique« , il ne va pas demander tout ça, assure-t-elle. une justice à deux vitesses ce qui fait sursauter Ségolène Royal, comme ont pu le découvrir les téléspectateurs de BFM TV.