Affaire Jegou-Auradou : de nouvelles images de vidéosurveillance montrent le plaignant croiser un assistant de Fabien Galthié
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Affaire Jegou-Auradou : de nouvelles images de vidéosurveillance montrent le plaignant croiser un assistant de Fabien Galthié

Affaire Jegou-Auradou : de nouvelles images de vidéosurveillance montrent le plaignant croiser un assistant de Fabien Galthié

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Le Mendoza Post, un journal argentin, qui couvre assidûment l’affaire Jégou-Auradou, a révélé le 16 août 2024 la vidéosurveillance de l’ascenseur de l’hôtel où le plaignant rencontre un membre du staff du XV de France.

Le journal argentin Mendoza Post a révélé sur X (anciennement Twitter) ce vendredi 16 août 2024, des images de vidéosurveillance de l’hôtel Diplomatico de Mendoza. C’est dans cet hôtel qu’auraient eu lieu les faits présumés de « viol collectif aggravé » dont la plaignante accuse les joueurs du XV de France Oscar Jégou et Hugo Auradou.

#Vidéo Le moment où Patrick Arlettaz, le manager de l’équipe de France de rugby, apparaît dans l’ascenseur avec la femme qui dénonce les joueurs Hugo Auradou et Oscar Jégou pour délit d’abus sexuel. pic.twitter.com/PgnQdugsC2

– Poste de Mendoza (@MendozaPost) 16 août 2024

La caméra de vidéosurveillance, située dans l’ascenseur, montre la plaignante monter et descendre quelques étages avant qu’un homme n’entre à son tour. Cet homme est Patrick Arlettaz, l’assistant et entraîneur de trois-quarts de Fabien Galthié. Ils ont passé environ 25 secondes ensemble dans cet ascenseur. Selon la version de la plaignante, à ce moment précis, elle quittait l’hôtel après les faits reprochés.

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Entendu par la police argentine à la suite de cet « entretien », Patrick Arlettaz a déclaré n’avoir « rien vu d’étrange » dans le comportement de la plaignante. « Elle était normale, souriante », a-t-il ajouté. Ses déclarations, ainsi que l’étude de la vidéo, ont renforcé les « zones d’ombre » dans les déclarations de la plaignante, qui avait dit avoir quitté l’hôtel en état de choc. Cet élément a probablement contribué à la libération des deux joueurs, bien qu’ils soient obligés de rester en Argentine. Leur avocat va déposer une demande de non-lieu.

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