Adriana Karembeu se confie sur sa relation avec son père
L’animatrice, mannequin et comédienne était l’invitée de Frédéric Lopez ce 23 juin dans son émission « Un Dimanche à la campagne » sur France 2 aux côtés de la chanteuse Ycare et de l’athlète olympique Marie-José Pérec.
Une nouvelle parenthèse suspendue dans le temps. Frédéric Lopez était de retour sur France 2 avec un nouvel épisode de « Un dimanche à la campagne » ce 23 juin. Le temps d’un week-end, il a accueilli la chanteuse Ycare, l’athlète olympique Marie-José Pérec mais aussi l’actrice et mannequin Adriana Karembeu. La femme de 52 ans a parlé de son enfance en Slovaquie.
Et si les trois premières années de sa vie furent particulièrement heureuses – elle vivait chez ses grands-parents, ses parents terminaient leurs études – les choses se gâtèrent lorsqu’elle eut 6 ans et l’arrivée de sa petite sœur. « J’avais vraiment l’impression d’être la pire personne au monde, quelqu’un dont on veut vraiment se débarrasser »a confié Adriana Karembeu.
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« Je vivais dans ma tête »
C’est avec son père que les relations furent les plus tendues. « Il voulait constamment m’humilier, me détruire. Le mot que j’ai le plus entendu sur moi-même était « bon à rien ».» Le père lui a également dit qu’elle « n’allait pas ne fais rien de ta vie », même si elle était bonne à l’école. Plus dur encore, elle a confié à Frédéric Lopez qu’elle se souvient très bien de son père lui disant qu’il ne l’aimait pas.
«J’étais invisible et l’invisibilité était ma couverture. Plus j’étais invisible, moins il me remarquait. Et mieux j’étais. » Difficile à croire, mais la jeune Adriana Karembeu était une véritable introvertie. «Je n’ai même pas parlé. Je vivais dans ma tête, je me faisais des films. J’étais une super héroïne, quelque chose de fou. Et pourtant, je ne connaissais même pas les films de super-héros mais je rêvais que je volais, que je sauvais des vies, que j’avais tout fait. Mais dans mon imagination. »