L’acteur et cinéaste Sylvester Stallone a présenté le président élu Donald Trump lors du gala de l’America First Policy Institute (AFPI) à Mar-a-Lago en Floride jeudi soir. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que son concert d’éloges était excessif, à l’image des personnages qu’il incarnait.
JUSTIN: Sylvester Stallone présente Donald Trump à Mar-a-Lago et dit que Trump est comme le « deuxième George Washington ».
« Nous sommes en présence d’un personnage véritablement mythique. J’adore la mythologie.
« Cet individu n’existe pas sur cette planète. Personne au monde n’aurait pu tirer… pic.twitter.com/3SZn7bOjsM
– Collin Rugg (@CollinRugg) 15 novembre 2024
Au début de son discours, Stallone a commencé à parler de son personnage « Rocky » et de la façon dont il « allait se métamorphoser et changer de vie, tout comme le président Trump ». Et de poursuivre : « Nous sommes en présence d’un personnage véritablement mythique. Personne au monde n’aurait pu réaliser ce qu’il a accompli, donc je suis impressionné.
« J’aime Trump »
Sylvester Stallone a même osé faire une comparaison historique. «Quand George Washington (NDLR : le premier président des Etats-Unis) défendu son pays, il ne savait pas qu’il allait changer le monde car sans lui on pouvait imaginer à quoi ressemblerait le monde. Devinez quoi? Nous avons le deuxième George Washington. Félicitations ! » Trump est monté sur scène et a murmuré quelques mots à l’acteur tout en lui serrant fermement la main. Puis Trump dans son discours a salué les nominations qu’il vient de faire avec Elon Musk ou Marco Rubio ou Pete Hegseth ;
Même si Stallone est resté dans l’ombre tout au long de l’élection, il n’a jamais caché son admiration pour Trump. En 2016, il a déclaré à Variety : « J’aime Trump. » Et l’admiration du président élu semble réciproque. En novembre 2019, alors qu’il était au terme de son premier mandat de président des Etats-Unis, Donald Trump publiait sur X un photomontage montrant sa tête sur le corps de l’acteur à l’époque où il incarnait le boxeur au cinéma. Selon certains observateurs, il s’agirait d’une réponse aux critiques concernant son état de santé.