A seulement 30 ans, Adèle Exarchopoulos est déjà l’un des grands noms du cinéma français. L’actrice a pourtant grandi dans un environnement très éloigné des paillettes, comme elle l’a récemment rappelé. « Sept à huit » à travers des anecdotes sur sa famille. La jeune femme a rappelé son arrivée dans le monde ultra glamour des tapis rouges, notamment grâce au succès de La vie d’Adèle avec Léa Seydoux en 2013, récompensé par de nombreux prix cinématographiques, dont celui de la meilleure actrice aux César et à Cannes.
Si la star apprécie aujourd’hui ces moments de « pur émerveillement » et les « privilèges » du métier, elle a eu du mal à y croire à ses débuts. « Pour moi c’était impossible, j’ai repris mon ancien métier, à Bercy, la salle de concert, vendeuse de pop corn, etc », a-t-elle déclaré. « Et je pense que cela m’a aussi rassuré, car je ne voulais pas que ma vie change. »
Son inquiétude venait notamment du « décalage » important entre l’environnement de son enfance et celui qu’elle a intégré à l’âge adulte. « Mon père a plusieurs métiers, il est aussi chef des sandwicheries à Bercy, ma mère est infirmière. J’ai deux petits frères, nous avons sept ans d’écart », a-t-elle expliqué, avant de se souvenir d’un avertissement bien intentionné de son père concernant son soudain succès. « Le premier texte que j’ai reçu après la Palme d’Or (en 2013 pour La vie d’Adèle), c’est mon père qui m’a dit : « Fais attention, les gens te verront comme un steak, comme de la cupidité ».
L’occasion pour la maman d’Ismaël, 7 ans, d’évoquer un autre événement marquant pour Didier Exarchopoulos au début de la carrière de sa fille : le moment où on lui a conseillé de changer son nom de famille « un peu long ». « Naïvement, j’ai appelé mon père (…) j’ai senti que ça ne lui plaisait pas du tout, et le lendemain je suis arrivé à la cantine, j’ai senti une mauvaise ambiance autour de moi, et j’ai appris que mon père appelait la production et il a flippé. » dehors. Il leur a dit : « Ma fille est mineure, personne ne change son nom. Elle a un nom grec, ça reste comme ça' », a-t-elle déclaré en riant.
Désormais forte de son expérience et d’un succès durable, Adèle Exarchopoulos reste toujours proche de sa famille, même si ses frères ne partagent pas sa passion pour le cinéma. « Mes frères sont allés voir des films et se sont endormis, et il y en a certains qu’ils n’ont jamais vus », a-t-elle déclaré. « Mes frères sont intéressés si je rencontre Zidane, les autres, quand je leur dis avec qui je travaille, ils me disent : ‘Ah cool, cool’, ils ne sont pas très intéressés. »
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