Recep tayyip erdogan « Il n’y a plus de légitimité (…). La Turquie est plus forte qu’une poignée d’hommes de la junte »Lancé le chef du Parti républicain populaire (CHP), Özgür Özel, devant mille délégués de son parti, s’est réunie le dimanche 6 avril à Ankara. Sans surprise, le chef de l’opposition turque a été renouvelé à la tête du CHP, lors d’un extraordinaire Congrès organisé à la hâte, dans un contexte de crise politique sans précédent depuis l’arrestation du très maire populaire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, le 19 mars.
Essais pour » insulte « Pour les représentants de l’État, annulation de son diplôme universitaire: ces derniers mois, la relevée de la justice et l’administration contre M. Imamoglu ont trahi la fiévreux du pouvoir envers ce qui s’est imposé comme le principal rival de M. Erdogan. Mais avec l’emprisonnement du maire d’Istanbul pour « Corruption » Et « Différend des fonds publics »Les autorités ont franchi un niveau supplémentaire en termes de répression, sans que l’opposition sache où elle s’arrêtera.
Depuis janvier 2024, le CHP a été ciblé par une procédure lancée par le procureur d’Ankara à la suite d’accusations de votes truqués au cours de ses 38 anse Le Congrès, qui avait amené Özgür Özel à sa présidence, en novembre 2023. Après l’emprisonnement de M. Imamoglu, la gestion du CHP craignait la nomination d’un administrateur d’État (kayyum) À la tête du parti, sur le modèle de ce qui a été pratiqué dans une douzaine d’hôtel de ville d’opposition ces derniers mois.
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