A quoi joue Donald Trump avec son casting sulfureux ?
Donald Trump a choisi Linda McMahon, ancienne dirigeante de la puissante fédération américaine de lutte WWE, pour diriger le ministère de l’Éducation. Cette femme d’affaires était certes déjà ministre lors du premier mandat Trump, mais elle était alors en charge de petites entreprises et on ne nous connaît pas pour avoir de compétences particulières dans le domaine éducatif.
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Au casting du président réélu, on retrouve également Matt Gaetz de Justice, également inqualifié pour le poste, et qui a fait l’objet d’une enquête pour exploitation sexuelle de mineur. Et puis il y a Robert Kennedy Junior. Prospective pour la Santé, l’héritier de la dynastie Kennedy a des connotations complotistes. Nicolas Teillard dresse le portrait du neveu de l’ancien président John Fitzgerald Kennedy.
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Donald Trump reste donc dans le registre de la provocation qui a fait son succès lors de la campagne électorale. Comment comprendre ces nominations qui doivent encore être confirmées par le Sénat ? Le milliardaire récompense ceux qui lui ont prêté allégeance, estime Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l’IRIS, spécialiste de la politique américaine.
Quant à Elon Musk, le patron de Tesla et de l’Espace, et son omniprésence aux côtés de Donald Trump depuis l’élection commence à agacer le camp républicain, comme nous l’explique notre correspondant à Washington Sébastien Paour.
Questions internationales
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Culture de l’information, deuxième partie, un aperçu des actualités à venir. Michel Barnier prendra la parole ce jeudi après-midi 21 novembre, à la tribune du 106e Congrès de l’Association des maires de France. Discours très attendu alors que le Premier ministre réclame un effort de cinq milliards d’euros aux collectivités territoriales pour boucler son budget 2025. Une fuite particulièrement redoutée dans les petites communes.