A peine sortie, la peluche Serge le Lapin est déjà en rupture de stock
Il n’y a pas que Phryge qui rencontre un franc succès aux JO de Paris 2024. Ces dernières semaines, les produits dérivés à l’effigie de Serge le Lapin, la célèbre mascotte de la RATP, ont également vu leurs ventes atteindre des sommets. Tous les exemplaires de la peluche, lancée fin juillet au prix de 22 euros, ont été écoulés en quelques jours seulement, rapporte Le Parisien.
« Cela a une très forte notoriété. Comme à Londres ou à New York, on se rend compte que l’iconographie des métros historiques plaît à de nombreux acheteurs », analyse le responsable de l’identité sonore et visuelle de la RATP. Selon lui, les ventes de produits dérivés ont été multipliées par 2,5 depuis le lancement de la campagne RATP sur les plateformes il y a quelques jours.
« On nous a volé »
Les produits sont vendus en ligne mais aussi dans les grands magasins comme le Bazar de l’Hôtel de Ville (BHV), les Galeries Lafayette ou le Printemps. « Le personnage est très populaire. On en avait quelques dizaines, mais on s’est fait voler », raconte un employé du BHV à nos confrères. Si la peluche Serge est en rupture de stock, les touristes peuvent toujours trouver des casquettes, des pins, des chaussettes, des mugs, etc.
Que les fans de Serge le Lapin se rassurent, la RATP a déjà annoncé l’arrivée d’un millier de nouveaux objets, parmi lesquels des peluches et des cahiers. Un succès fou et inattendu pour le lapin rose du métro qui, depuis 1977, rappelle aux enfants (et aux grands !) de faire attention à ne pas se pincer les doigts à la fermeture des portes.