« Le Premier ministre n’a pas menti, il a dit ce qu’il savait », a déclaré mercredi le ministre de la Justice sur France Inter. François Bayrou, pour sa part, continue de s’assurer qu’il n’intervient pas dans ce cas de violence physique et sexuelle dans l’établissement scolaire de Betharram.
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« À ma connaissance »François Bayrou « Je ne savais rien » Sur la violence physique et sexuelle qui a eu lieu dans l’établissement de Notre-Dame-de-Betharram, assure le mercredi 19 février sur la France Inter le ministre de la Justice, Gérald Darmanin. Le Premier ministre a martelé mardi qu’il n’était pas « Jamais » intervenu, « Ni proche ni loin » dans ce cas. Son ministre de la Justice dénonce un « Procès politique ».
« Le Premier ministre n’a pas menti, il a dit ce qu’il savait »dit Gérald Darmanin. « Dans ce cas, les premières plaintes ont été déposées il y a longtemps. Dans les années 1950 et 60, les premiers faits ont été signalés. Et les instructions, ce que nous savons à la chancellerie, ouverte à partir de 1998. François Bayrou n’était plus au gouvernement du gouvernement à ce moment-là « indique le ministre.
« Tout en prenant conscience du drame qui affecte toutes ces victimes, nous ne devons pas tomber dans le procès politique »demande le ministre. «Nous pouvons voir que chaque fois que cette France rebelle, puisque c’est elle qui a noté cette« affaire », pose la question au Premier ministre, elle revendique sa démission et le vote de la censure à la fin de chaque réponse.