Sur sa photo de profil LinkedIn, Marius Gustavson a un air fier sur le visage. En 2016, il travaillait dans le domaine informatique et faisait également du bénévolat pour la London Pride. Rien ne laisse présager ses déviances et les interventions chirurgicales qu’il a organisées chez lui, dans sa maison du nord de Londres. Pourtant, en quelques années, ce Norvégien a mis en place un réseau de modifications corporelles extrêmes.
Au terme de deux jours d’audience, la Cour pénale de Londres se prononcera sur sa peine. Une procédure courte car Marius Gustavson a déjà reconnu avoir causé de graves blessures corporelles.