» data-script= »https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js » >
REPORTAGE – Le député des Alpes-Maritimes, toujours président des Républicains, espère que l’UDR incarnera le parti de «renouvellement » à droite. Et critique la position de Nicolas Sarkozy.
A Levens (Alpes-Maritimes)
« C’est une forme de renaissance aujourd’hui. On retrouve enfin l’esprit de notre famille politique. L’UDR, c’était en 68. C’était quand la France était au plus bas, la capacité de rebondir pour apporter un nouvel espoir. C’est ce que nous faisons dans la fidélité au parti gaulliste.» Saisi par les micros et les caméras juste après son discours politique de rentrée, Éric Ciotti explique le sens de son projet dévoilé devant plus de 2 000 militants réunis à Levens, dans les Alpes-Maritimes. Dans la continuité de son alliance électorale aux législatives avec le Rassemblement national, qui lui a valu une rupture avec les principaux cadres d’un parti LR qu’il préside toujours, le parlementaire poursuit ainsi son projet d’unification de la droite en considérant qu’il est le « candidat idéal » de la droite.seule voie possible » pour redresser la France.
Eric Ciotti, qui se pose en rassembleur « tous ceux qui aiment la France et qui ne peuvent accepter le déclin de la France« , précise également…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 82% à découvrir.
Vous voulez en savoir plus ?
Déverrouillez tous les objets immédiatement.
Déjà abonné ? Connectez-vous
hd1
