Gabriel Attal plaide pour des « réformes » génératrices d’économies, en lieu et place des hausses d’impôts que le Premier ministre envisage pour les Français les plus riches et les très grandes entreprises.
Alors que le gouvernement de Michel Barnier doit présenter ce jeudi son projet de budget pour 2025, le débat reste vif entre le Premier ministre issu des Républicains (LR) et ses partenaires macronistes. Mardi, les députés de l’Ensemble pour la République (EPR), dirigés par Gabriel Attal, ont reçu pour la première fois le locataire de Matignon lors de leur réunion de groupe à l’Assemblée nationale. L’occasion de confronter leurs points de vue sur les hausses d’impôts ciblant les plus riches et les mesures d’économies prévues.
La ligne du groupe EPR, qui entend détailler ses propositions à la presse avant jeudi, a été définie dimanche matin, lors d’une visioconférence : plaider pour « réformes » visant à économiser de l’argent plutôt qu’à augmenter les impôts. Ce qui risque selon eux d’affecter la croissance et la compétitivité.
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