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À Gaza, le pouvoir israélien affiche ses divisions au grand jour

Le chef du Parti de l’unité nationale, Benny Gantz (ici le 8 octobre à Tel-Aviv), a critiqué samedi la manière dont Benjamin Netanyahu menait la guerre.
Abir SULTAN / PISCINE / AFP

DÉCRYPTION – Benny Gantz, le principal rival de Netanyahu, menace de quitter le cabinet de guerre faute de plan d’après-guerre.

Correspondant à Jérusalem

La survie du cabinet de guerre israélien ne tient qu’à un fil. Formée au lendemain de l’attentat terroriste du 7 octobre, elle rassemble des figures de l’opposition qui ont accepté de s’associer à la coalition de Benjamin Netanyahu. Jusqu’à présent, personne en Israël n’ignorait les profonds désaccords qui traversent cette union hétérogène de partis suprémacistes juifs, ultra-orthodoxes et de partis de droite israéliens plus modérés. La querelle est désormais officielle.

Une date a même été prévue pour le divorce : ce sera le 8 juin, a promis Benny Gantz lors d’une conférence de presse qu’il a donnée samedi soir. Chef du Parti de l’unité nationale, en tête des sondages depuis le début de la guerre, Benny Gantz est un ancien ministre de la Défense et ancien chef d’état-major. Il est considéré comme le principal rival de Benjamin Netanyahu, celui qui serait en mesure de lui ravir le pouvoir en cas d’élections.

Au cœur du litige se trouve la question des poursuites…

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Ray Richard

Head of technical department in some websites, I have been in the field of electronic journalism for 12 years and I am interested in travel, trips and discovering the world of technology.
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