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À Brest, des quartiers sans réseau mais pleins d’amertume

Patrick en garde un souvenir très précis. « Ma femme bricolait dans le jardin et je regardais la télévision. Du coup, plus rien. Je ne m’en doutais pas longtemps», plaisante-t-il. C’était le 26 mars 2024, dans la discrète rue pavillonnaire Edouard-Vuillard, située juste à côté de la rue de Paris, près du Pont-Neuf, à Brest. Plus haut, à Pen-ar-Créac’h, c’est le 21 mars que tout s’est arrêté.

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