Charles Aznavour : la vérité sur sa mort révélée par l’un de ses amis proches
Né le 22 mai 1924 à Paris, Charles Aznavour a marqué de son vivant l’histoire de la scène musicale française. En effet, le musicien s’est imposé comme l’un des chanteurs les plus populaires de tous les temps en France. Tout comme Michel Sardou ou Johnny Hallyday, celui qui est né sous le nom de Charles Aznavourian a acquis un statut de légende.
Malheureusement, le chanteur est décédé à l’âge de 94 ans le 1er octobre 2018. Ce jour-là, Charles Aznavour perdait la vie dans la baignoire de la salle de bain attenante à la chambre de sa résidence secondaire à Mouriès, située dans les Bouches-du-Rhône. Pour la petite histoire, le musicien a fait construire cette résidence dans les années 1990. Sur place, il cultivait et commercialisait de l’huile d’olive depuis une dizaine d’années.
Charles Aznavour a succombé à «œdème pulmonaire aigu » en 2018
Quelques jours après sa mort, Charles Aznavour a eu droit à un hommage national dans la cour des Invalides. Pour rappel, une autopsie a été pratiquée sur le corps du défunt. Afin d’augmenter le risque de noyade. Les résultats ont finalement révélé que le chanteur était décédé des suites d’un « œdème pulmonaire aigu responsable d’une insuffisance cardio-respiratoire qui s’est avérée hors de toute ressource thérapeutique« .
A ce sujet, le président d’honneur de la Sacem, Gérard Davoust, a poussé un gros coup de gueule dans les colonnes de JDD Dimanche 2 juin 2024. Celui qui était un ami proche de Charles Aznavour a évoqué les véritables raisons, selon lui, de la mort du musicien. Apparemment, le voyage que le chanteur avait effectué au Japon peu avant sa disparition lui aurait été fatal.
Gérard Davoust : « Je blâme toujours les compagnies aériennes. Ce qu’ils ont fait est criminel »
« Deux jours avant sa mort, nous lui avions rendu un déjeuner avec Belmondo. Charles Aznavour revenait de deux concerts au Japon, à Osaka et à Tokyo. Il était en pleine forme, surpris même d’être si peu fatigué après une telle épreuve. voyage. C’était un vendredi.a d’abord souligné Gérard Davoust.
« Il n’aurait jamais dû prendre cet avion pour le Japon. On ne laisse pas un homme de 94 ans voyager aussi longtemps sans lui administrer des anticoagulants. Il est mort d’une embolie pulmonaire dans son bain. Je blâme toujours les compagnies aériennes. C’est criminel ce qu’ils ont fait.» ajouta alors l’ami de Charles Aznavour.