« Il faut prendre le temps » de discuter, estime Philippe Dunoyer, député Renaissance de Nouvelle-Calédonie
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![René Dosière, ancien député socialiste et ancien rapporteur sur le statut de la Nouvelle-Calédonie, et Philippe Dunoyer, député Renaissance de Nouvelle-Calédonie, sont invités à 19/20 info, jeudi 16 mai, pour évoquer la situation en Nouvelle-Calédonie.](https://www.francetvinfo.fr/pictures/hpHILh-vXEhJxguM34dIf0XEH5g/0x0:1032x580/432x243/2024/05/16/philippe-dunoyer-66464e21b15fa602465605.jpg)
Émeutes en Nouvelle-Calédonie : « Il faut prendre le temps » de discuter, disent René Dosière, ancien député socialiste, et Philippe Dunoyer, député Renaissance de Nouvelle-Calédonie
René Dosière, ancien député socialiste et ancien rapporteur sur le statut de la Nouvelle-Calédonie, et Philippe Dunoyer, député Renaissance de Nouvelle-Calédonie, sont invités à 19/20 info, jeudi 16 mai, pour évoquer la situation en Nouvelle-Calédonie.
(franceinfo)
René Dosière, ancien député socialiste et ancien rapporteur sur le statut de la Nouvelle-Calédonie, et Philippe Dunoyer, député Renaissance de Nouvelle-Calédonie, sont invités à 19/20 info, jeudi 16 mai, pour évoquer la situation en Nouvelle-Calédonie.
Jeudi 16 mai, les scènes de violences se poursuivent en Nouvelle-Calédonie, sur fond de réforme constitutionnelle. René Dosière, ancien député socialiste et ancien rapporteur sur le statut de la Nouvelle-Calédonie, et Philippe Dunoyer, député Renaissance de Nouvelle-Calédonie, sont présents sur le plateau du 19/20 pour discuter d’une possible sortie de crise. « En 1988, alors qu’il y avait une grave guerre civile, séparatistes et non-séparatistes se traitaient de terroristes, et finalement, grâce à l’intelligence de Michel Rocard et à celle des dirigeants politiques, nous avons pu malgré tout faire paix »explique René Dosière.
Selon l’ancien député, « Il est possible de faire la paix, mais il y a trois conditions à remplir »savoir « prendre le temps », « dialoguer » Et « mettre en place une médiation ». De son côté, Philippe Dunoyer détermine deux priorités, à savoir nourrir et soigner la population. Ensuite, il rejoint l’ancien député : « Il faut prendre le temps. »